Śrīmad-Bhāgavatam 2.1.5
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Los Angeles, 13 août 1972
C'est pourquoi un dévot n'est attiré par aucune des opulences de ce monde matériel. Il n'est pas intéressé. Ce qui les intéresse, c'est de se transférer dans le monde spirituel où, comme il est dit dans la Bhagavad-gītā, yad gatvā na nivartante tad dhāma paramaṁ mama [Bg. 15.6]. Cette sphère, ce ciel, où l'on va, personne ne revient dans ce ciel... C'est le ciel matériel, et il y a le ciel spirituel. Ces informations sont là. Si vous les acceptez, tout va bien. Mais si vous..., même si vous ne l'acceptez pas, c'est aussi bien, parce que nous considérons la version védique comme la vérité absolue. Ces informations existent donc et ont été acceptées par de grands ācāryas. Il ne s'agit pas d'une simple acceptation. De grands ācāryas. Tout comme Vyāsadeva, Nārada, Asita, et l'âge moderne Śrī Rāmānuja, Śrī Madhvācārya, Śrī Caitanya.
Ce sont de grands spécialistes de la science spirituelle. Ils ont accepté. Et nous acceptons Kṛṣṇa, la Personnalité Suprême de la Divinité, par Ses activités, par la définition de la possession des six opulences. Nous n'acceptons personne, un homme ordinaire... C'est comme aujourd'hui, c'est une mode. Tout le monde vient et dit : "Je suis Dieu". Non, nous n'acceptons pas cela. Arjuna parlait avec Kṛṣṇa. Il savait que Kṛṣṇa est la Personnalité Suprême de la Divinité, mais afin de nous convaincre qu'à l'avenir il n'y aurait pas de malentendu sur la Personnalité Suprême de la Divinité, il a demandé à Kṛṣṇa de montrer Sa forme universelle. Il la lui a donc montrée. Il n'y a donc aucun doute au sujet de Kṛṣṇa, la Personnalité Suprême de la Divinité.