-Bhāgavatam 1.7.22
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Vṛndāvana, 18 septembre 1976
Ainsi, la souffrance et le souff... C'est pourquoi l'existence matérielle est appelée saṁsṛti. Saṁsāra. C'est pourquoi nous lisons chaque jour dans le Gurvaṣṭaka, saṁsāra-dāvānala-līḍha-loka **. Ce saṁsāra, cette existence matérielle, est exactement comme dāvānala. Dāvānala signifie feu de forêt. Dans la forêt, personne ne va mettre le feu, mais cela se fait automatiquement. Même si vous ne le voulez pas, il se produira. C'est le saṁsāra. Dans votre pays, dans une belle ville, à New York, il y a du feu à tout moment, des bouses, des bouses, des bouses, des bouses, des bouses, des bouses, des bouses. Pourquoi ? Très belle ville, grande ville, grandes routes, grandes, mais il y a de la souffrance. Qui veut ce feu ?
Mais le gouvernement doit prendre des dispositions pour les pompiers, et parce que c'est une grande nation, une nation très prospère, il y a très constamment, très fréquemment des incendies. Fréquemment. Vous ne trouverez pas de tels incendies en Inde, du moins. Nous n'avons pas l'expérience d'une brigade de pompiers qui intervient à tout moment. N'est-ce pas ? J'exagère ? Hein ? Vous voyez bien. Nous avons tant de villes en Inde, mais nous n'avons pas ce genre d'arrangement qui consiste à avoir en permanence, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, des bouses. En tout cas, nous n'en avons pas. Moins de souffrance, parce que nous ne sommes pas si avancés. Plus on avance matériellement, plus on souffre. Daivī hy eṣā guṇamayī mama māyā [Bg. 7.14].