Voici le résumé d'une lecture donnée par Srila Prabhupada le 27 août 1973 à Londres. (Śrīmad-Bhāgavatam 1.1.4)
Donc, le simple fait d'avoir un père et une mère riches ne suffit pas pour être heureux. Non. S'il est malheureux, bien qu'il ait un père et une mère riches, il continuera à être malheureux. Bālasya neha śaraṇaṁ pitarau nṛsiṁha nārtasya cāgadam udanvati majjato nauḥ. Ārtasya, celui qui est malade, ce n'est pas parce qu'il reçoit l'aide d'un bon médecin et d'une médecine de première classe qu'il sera guéri. Non, il n'y a aucune garantie. Il n'y a aucune garantie. Nous avons vu. Médecin de première classe, médecin de première classe employé pour guérir un ..., mais malgré tout, ce médecin va mourir. Nous avons donc fabriqué tant de contre-mesures. Les scientifiques sont très fiers que "ils fabriquent maintenant des médicaments efficaces". Mais où est votre remède contre la mort et la maladie? La maladie continue à nous faire souffrir. Vous ne pouvez pas fabriquer, fabriquer un médicament pour nous empêcher d'être malade ou de ne jamais mourir. Ce n'est pas possible. Vous fabriquez des médicaments pour certaines maladies. Très bien, cette maladie est guérie, mais une autre maladie viendra. Hein? Tout comme en Inde, il y a la malaria ou une autre maladie. Dans votre pays, il y a le cancer. Maladie très forte. Vous êtes des hommes riches. Cette maladie est également très riche. (rires) En Inde, ils souffrent un peu de la malaria. C'est tout. Cela, même si vous êtes riche. Vous avez un cancer. Il n'y a pas de remède. C'est tout. Fini. C'est un fait à étudier.
Alors pourquoi cela se produit-il? Vous pouvez fabriquer, vous pouvez inventer tant de belles choses, contrecarrer toutes ces souffrances, mais si vous êtes négligé par Kṛṣṇa, aucune contre-réaction ne vous sauvera. Tāvad tanu-bhṛtāṁ tvad-upekṣitānām. Si quelqu'un est négligé par Dieu, il ne peut pas être sauvé. Ce n'est pas possible.
Note par Aprakrita dasa: Ici Srila Prabhupada nous fait voir, que les médecins n'échappent pas aussi à la maladie et à la mort, malgré leur grande science. Le dévot quittera son corps pour retourner à Krishna, tandis que le médecin restera dans ce monde matériel. Il continuera à être malade met à mourir peut être encore des millions de fois. Cela ne veut pas dire que nous devons pas consulter un médecin lorsque la maladie nous frappe. Il est dit ceci dans le Srimad-Bhagavatam (1.14.9) à ce propos:
Il est bien entendu que l'effort personnel doit toujours être présent, mais sans la bénédiction du Seigneur, nul ne peut connaître le succès, quelle que soit la somme des efforts fournis. Cependant, l'homme moderne, l'homme du kali-yuga, ne croit plus qu'en le labeur personnel, et renie la bénédiction du Seigneur Suprême. Il s'est même trouvé un important sannyasi indien pour donner des conférences à Chicago, où il contestait l'existence d'une telle bénédiction. Quant aux sastras védiques, comme nous le révèlent les pages du Srimad-Bhagavatam, ils sont formels: l'issue dernière de toute entreprise repose entièrement entre les mains du Seigneur Suprême. Maharaja Yudhisthira admet que c'est à la grâce du Seigneur qu'il doit sa réussite personnelle; et quiconque cherche le plein succès doit marcher sur les traces d'un aussi grand roi et dévot du Seigneur. Si la réussite ne dépendait pas de la sanction du Seigneur, alors la médecine, pour ne citer que cet exemple, serait infaillible. Mais la vérité est qu'en dépit des thérapeutiques les plus perfectionnées, appliquées, par les praticiens les plus compétents, tel patient ne pourra être sauvé, quand tel autre, jugé perdu, retrouvera miraculeusement la santé sans aucun soin médical. Ce qui nous permet de conclure que la sanction de Dieu est le facteur essentiel de toute réussite, comme de tout échec. Ainsi, tout homme qui voit ses entreprises couronnées de succès devrait se montrer reconnaissant d'abord envers le Seigneur pour tout ce qu'il a obtenu par Sa grâce.