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Krishna est un Nom de Dieu qui signifie "l'Infiniment Fascinant". Le Seigneur, en effet, fascine tous les êtres et telle est précisément la définition du mot Dieu. Celui-ci possède une variété infinie de Noms. Certains, tels Jéhovah, Adonaï, Jahvé, Bouddha, Allah, nous sont familiers; d'autres, tel celui de Krishna, peuvent l'être moins. Mais en réalité, si un nom doit être attribué à Dieu, c'est bien celui de Krishna.

En fait, Dieu n'a aucun nom; plutôt, personne ne sait combien Il en a. Parce que Dieu est illimité, Ses Noms doivent l'être également. Il portera donc des Noms variés selon les divers aspects de Sa personnalité absolue. Procédant de cette même qualité, les Noms de Dieu ont le pouvoir de purifier quiconque les chante. Il n'existe aucune différence entre chanter le Nom du Seigneur et vivre en Sa compagnie personnelle. La raison en est que Dieu est absolu, au-delà de toute dualité. S'il existait la moindre différence entre Dieu et Son Nom, comme celle qui sépare tout objet matériel du nom qui le désigne, il en résulterait une certaine dualité. On retrouverait alors deux entités bien distinctes: Dieu et Son Nom. Le Seigneur doit donc être, entièrement présent dans Son Nom; les deux ne peuvent, qu'être intrinsèquement identiques. Ainsi Dieu transcende t-Il toute dualité puisque Son Nom et Sa Personne ne font qu'Un. Néanmoins, certains Noms Lui conviennent mieux en Sa qualité de Personne Divine et Suprême.

A titre d'exemple, le mot Dieu, d'origine germanique, signifie "l'Infiniment Bon".(1) Nous devons admettre ici qu'un tel nom décrit l'Etre Suprême d'une façon bien vague; il ne saurait donc suffire. Or, d'autres Noms Le dépeignent mieux.

La Bible emploie couramment le terme hébreu Elohim pour désigner Dieu. Si on le décompose davantage, on obtient la syllabe El qui signifie "puissant, dominant, suprême".(2) Là encore, on est loin d'une véritable description du Suprême. Les autres Noms de Dieu qu'on retrouve dans la Bible, El-Shaddai,(3) Adonai (4) Jéhovah,(5) traduisent également la majesté, la souveraineté de Dieu. Et en fait, il est évident que la Bible nous révèle surtout Son aspect puissant et redoutable. Mais Dieu est beaucoup plus. D'ailleurs, Jésus-Christ nous montre dans le Nouveau Testament un autre visage du Divin, plus personnel et plus affectueux. En vérité, Jésus Lui attribuait le Nom araméen de Awoon, ou "notre Père universel". Il insistait ainsi sur la paternité de Dieu et le fait concomitant que nous sommes tous Ses enfants.

L'Islam désigne Dieu par le terme arabe Allah, que plusieurs érudits traduisent par "Celui qui donne la vie",(6) ce qui indique que toute vie procède de Lui et que nous sommes tous frères sous Son règne. Ainsi, le Nom Allah ressemble beaucoup à celui de Awoon dont se sert Jésus.

On découvre en Inde des millions de Noms pour Dieu. En outre, les Ecritures védiques ancestrales, rédigées en sanskrit, offrent les termes qui Le décrivent le mieux. A vrai dire, les Textes védiques et tout le lexique sanskrit furent conçus à cette fin: offrir à l'humanité entière une connaissance précise et détaillée de Dieu, la Personne Suprême.

Le nom sanskrit de Bouddha désigne "l'Etre parfaitement éclairé". Celui de Govinda indique que Dieu représente une source de plaisir pour les êtres saints, les vaches et les sens de tous les êtres vivants. De même, le Nom de Adhokshaja signifie que le Seigneur est au-delà de la portée des sens et du savoir expérimental. Celui de Rama se traduit par "la Fontaine de tout bonheur". Ainsi, les Ecrits védiques révèlent une myriade de noms attribués au Seigneur, destinés à nous permettre de comprendre davantage Sa nature.

Mais Dieu doit posséder dans leur plénitude toutes les perfections. Certains seront fascinés par Sa bonté ou Sa majesté, telles que nous les révèle l'Ancien Testament. D'autres ressentiront plutôt l'attrait de Son rôle de père, sur lequel Jésus attira l'attention de ses disciples. D'autres encore apprécieront le fait que Dieu est à l'origine de toute vie, ce qu'enseigne l'Islam, et qu'Il est omniscient. Ces aspects de la Personne Divine, toutefois, ne séduiront pas tous les hommes. Or, si Dieu est le réservoir de tous les attributs suprêmes, le nom qui Le désignera ainsi s'avérera certes plus complet que tous les autres.

Celui qu'attire le savoir sera peut-être rebuté par la puissance. Les Noms de Adonaï, El- Shaddaï et Jéhovah qui font allusion à la majesté et la souveraineté du Suprême, ne sauront le satisfaire puisqu'ils ne dévoilent qu'une facette de Sa gloire. Dans un même ordre d'idée, ceux que séduit le pouvoir mais non la connaissance ne pourront être comblés par l'image du Bouddha. Et il en sera nécessairement ainsi pour tous les Noms mentionnés plus haut.

Le Nom Krishna, cependant, indique "l'Infiniment Fascinant". Un tel titre ne peut que désigner Celui qui possède dans leur plénitude la puissance, la beauté, la richesse, la célébrité, le savoir et le renoncement. Aussi qualifie-t-on Krishna de Bhagavan, ce qui sous-entend qu'Il jouit pleinement de toutes ces excellences. Les Noms divins que nous connaissons déjà ne révèlent donc qu'un fragment de Sa grandeur, alors que celui de Krishna, qui nous semble peut-être plus exotique, montre Dieu dans toute Sa gloire. Voilà donc le Nom de Dieu par excellence.

On peut ici demander: si le Nom Krishna est suprême, pourquoi les prophètes de la Bible ne nous l'ont-ils pas appris? Si la science de Krishna s'avère supérieure, pourquoi Jésus ne la dévoila-t-il pas à ses disciples?

Les Ecritures védiques déclarent que l'âme réalisée transmet la connaissance de Dieu selon le temps, l'endroit et les circonstances ainsi que les tendances mentales et dévotionnelles de son auditoire. A titre d'exemple, Jésus dut enseigner: "Tu ne tueras pas". De toute évidence, son auditoire était enclin au crime; il fut donc obligé de le leur interdire. De même, Mahomet dut proscrire les rapports sexuels entre mère et fils. On retrouve effectivement un tel commandement dans le Coran. Il prêchait donc à des matérialistes endurcis. A vrai dire, aucun principe religieux n'existait en Arabie à l'époque de Mahomet. Plusieurs pères ensevelissaient leurs enfants vivants, prenaient plus d'une épouse et passaient leurs jours complètement ivres. Telle était la culture au sein de laquelle Mahomet dut enseigner le Coran.

Les Ecritures védiques cependant furent transmises aux plus grands sages. C'est ce qui explique l'intensité de leur contenu et la profondeur de leur révélation spirituelle. Les Vedas traitent de la spiritualité d'une manière à la fois complexe et scientifique alors que toutes les autres Ecritures du monde s'en tiennent surtout à des codes d'éthique et des principes de moralité. Tout Ecrit religieux toutefois vise l'élévation graduelle de la société en général.

Bien que la nature humaine soit la même partout, les peuples qui vivent dans des pays et sur des continents différents acquièrent diverses caractéristiques secondaires. Il est impossible de trouver en ce monde deux peuples qui aient exactement la même seconde nature.

Si chez deux frères nés du même sein, nous observons des divergences de personnalité et d'apparence, quoi de plus naturel que de noter une disparité entre les hommes nés en divers endroits du globe.

Dans ces contrées, des phénomènes comme la localisation des emplacements d'eau, les mouvements de masses d'air, les montagnes et les forêts, et la quantité disponible de toutes sortes de nourritures et de vêtements montrent tous un aspect fort varié. En conséquence, certaines différences apparaissent naturellement dans la physionomie, la position sociale, l'activité et la manière de se vêtir et de se nourrir des habitants. Chaque nationalité ayant une disposition d'esprit particulière, les diverses conceptions du Seigneur Suprême sembleront superficiellement opposées, bien que de même essence.

Alors qu'en différents endroits, des peuples s'éveillent de leur condition primitive et graduellement développent culture, science, lois et dévotion envers Dieu, leur adoration diverge également dans le vocabulaire, les costumes, la nature de l'offrande et l'attitude intérieure. Toutefois, si nous considérons toutes ces apparentes disparités d'un point de vue impartiale nous ne rencontrons aucune contradiction ni aucun mal, aussi longtemps que l'objet d'adoration reste le même.

Aussi, Chaitanya Mahaprabhu nous exhorte-t-Il avec clarté d'offrir au Seigneur une dévotion sans mélange, placée sous l'égide de la plus pure vertu, sans jamais ridiculiser les codes religieux d'autrui.

Sous l'influence des facteurs mentionnés plus haut, les systèmes religieux mis en application dans le monde se distinguent comme suit:
1) différents maîtres spirituels
2) différents états émotifs liés à l'adoration
3) différents rites prescrits
4) des affections et activités différentes à l'égard de l'objet d'adoration
5) des terminologies et appellations différentes, résultant de la diversité des langues.

A bien y penser, il est évident que toute révélation spirituelle est donnée dans un langage adapté aux habitants d'un endroit spécifique. Nous oublions parfois que Jésus, par exemple, ne s'est jamais servi des mots "Dieu", "Seigneur", et tant d'autres noms que nous utilisons aujourd'hui. Jésus ne parlait pas l'anglais, mais bien l'araméen. Pourtant, certains critiquent les dévots de Krishna parce qu'ils emploient des Noms de Dieu non mentionnés par Jésus ou les prophètes. Mais s'ils peuvent appeler Dieu l'Etre Suprême, ce que Jésus, répétons-le, n'a jamais fait, pourquoi nous interdire l'emploi du Nom Krishna?

Suivant la variété d'autorités spirituelles, en certains endroits les hommes honorent les sages de la culture védique, en d'autres lieux ils vénèrent Mahomet et ses prophètes, alors qu'en d'autres régions encore ils s'attachent aux partisans de Jésus.

Pareillement, chaque localité montre un respect particulier pour divers grands philosophes. Chaque communauté se doit certes d'honorer correctement ses maîtres spirituels, mais nul ne devrait essayer de prouver la supériorité de son propre maître, dans le but d'acquérir de nombreux partisans. Encourager un tel antagonisme serait des plus néfastes pour le monde.

Les rites prescrits qui touchent l'adoration varient selon la mentalité et les sentiments dévotionnels de chacun. Dans certains endroits, le spiritualiste s'assied en un lieu sacré, pratique le renoncement et la maîtrise du souffle. Ailleurs, il se prosterne cinq fois par jour dans la direction du tombeau de son maître afin d'offrir hommages et révérences, peu importe la situation où il se trouve. Ailleurs encore, il s'agenouille dans le temple ou au foyer et, mains jointes, admet sa condition d'âme déchue et glorifie ainsi le Seigneur.

Dans chaque type d'adoration, diffèrent également le vêtement, la nourriture, la propreté, etc... En outre, le sentiment et le comportement face à l'objet d'adoration varient selon les religions. Certains dévots, la conscience saturée de dévotion, installent la Forme du Seigneur Suprême (murti) dans leur cœur, leurs pensées ou sur un autel, sachant bien que le Seigneur et la murti ne font qu'Un. D'autres processus davantage enclins aux arguments et à la logique rejettent l'image externe. L'aspirant doit alors imaginer une conception du Seigneur et l'adorer. Néanmoins, il importe de garder à l'esprit que toutes ces murtis constituent d'authentiques représentations du Seigneur, de les adorer sous la direction d'un pur dévot nous permettra donc d'atteindre le pur amour pour Dieu.

Différents langages donnent à Dieu des Noms variés. Les systèmes religieux portent aussi divers noms et possèdent pour chaque objet du culte une dénomination appropriée. Du fait de ces cinq grandes différences, les nombreuses religions du monde se sont développées de façon très distincte les unes des autres. Il ne faudrait pourtant pas que naissent de ces divergences de mutuels désaccords, car cela entraînerait un véritable désastre.

Si nous nous trouvons, à l'heure de la prière, dans le temple d'un groupe religieux différent du nôtre, nous devrions penser: "Ici mon Seigneur est adoré dans une forme nouvelle et cette scène fait naître en moi un sentiment plus intense pour ma propre forme d'adoration. La Vérité Suprême et Absolue est Une. J'offre mon humble hommage à la Forme que je vois ici et prie mon cher Seigneur, de qui cette Forme émane, qu'elle m'aide à accroître mon amour pour Lui."

Ceux qui n'agissent pas de cette manière mais montrent de la malice, de l'envie ou ridiculisent d'autres processus religieux, dévient certes de la vraie religion, manifestant ainsi leur manque d'intelligence. S'ils aimaient réellement le Seigneur Suprême, ils ne seraient nullement attirés par d'aussi vaines querelles.

Par ailleurs, bien qu'il soit insensé de se moquer des pratiques religieuses qui diffèrent de la nôtre, si nous y constatons quelque erreur véritable, nous ne devrions jamais la tolérer, mais bien plutôt nous efforcer de la déraciner de façon appropriée pour le plus grand bénéfice de ceux qui se sont fourvoyés dans leur pratique. Comment pourrions-nous agir autrement, si nous aimons vraiment Dieu et sommes prêts à défendre Sa cause?

Pour cette raison, Chaitanya Mahaprabhu réussit à convaincre boudhistes, jaïns et mayavadis de leurs méprises et à les ramener dans la voie juste. Tous les dévots du Seigneur devraient suivre l'exemple de Shri Chaitanya et rejeter tousles éléments négatifs de l'athéisme, de l'agnosticisme, du matérialisme, de la non-croyance en l'existence de l'âme spirituelle (qui équivaut à croire que de maintenir le corps représente une fin en soi), de l'hédonisme et de l'impersonnalisme. Tout dévot du Seigneur doit savoir que ces systèmes sont non seulement inauthentiques et décevants mais qu'ils ne constituent qu'un vague reflet des principes de la religion et qu'ils s'y opposent radicalement la plupart du temps. En vérité, nous devons prendre en pitié ceux qui s'attachent à de tels processus fallacieux. Suivant son habilité, le dévot s'efforce par tous les moyens de toujours protéger les hommes dans leur masse contre de tels fléaux.

Le pur amour pour Dieu, sans mélange, représente véritablement l'éternelle religion de l'âme spirituelle. Aussi, malgré les cinq grandes distinctions qui marquent les religions du monde, nous devrions reconnaître comme authentique tout processus dont le but est d'atteindre au pur amour pour Dieu. A quoi bon se quereller pour de futiles dissimilitudes? On ne juge de la valeur d'une méthode de réalisation spirituelle qu'à la pureté du but proposé.

Toutefois, quel que soit le Nom de Dieu ou la religion que nous adoptions, toutes les Ecritures du monde prescrivent le chant du Nom du Seigneur pour notre purification spirituelle. Telle est la religion préconisée pour l'âge où nous vivons.

Mahomet a recommandé: "Glorifie le Nom de ton Seigneur, le Très-Haut." (Coran 87.2) Et Saint Paul: "Quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé". (Romains 10: 13) Et Bouddha: "Tous ceux qui invoqueront Mon Nom avec sincérité Me rejoindront après la mort et Je les mènerai au Paradis." (Voeux du Bouddha Amida 18) Le roi David déclara pour sa part: " Louez, serviteurs de Yahvé, louez le Nom de Yahvé! Béni soit le Nom de Yahvé, dès maintenant et à jamais! Du soleil levant au soleil couchant, loué soit le Nom de Yahvé." (Psaumes 113:3) De même, les Ecrits les plus vieux du monde, les Vedas de l'Inde, déclarent avec insistance. "Chante les Saints Noms, chante les Saints Noms, chante les Saints Noms du Seigneur, car en cet âge de querelle pas d'autre moyen pas d'autre moyen, pas d'autre moyen d'atteindre la réalisation spirituelle."
(Brihannaradiya Purana 38. 126)

Le mantra Hare Krishna, composé de trois Noms: Hare, Krishna et Rama, qui désignent la puissance de félicité du Seigneur (Hare) et le Seigneur Lui-même en tant que l'Infiniment Fascinant (Krishna) ainsi que la Source intarissable de toute joie (Rama), lorsque seul ou en groupe on le chante ou le récite, a pour effet invariable de rétablir un état joyeux de conscience spirituelle, ce que corroborent depuis des millénaires les sages de l'Inde.

En effet, le Saint Nom de Krishna est chanté en Inde depuis toujours. Les Ecritures védiques nous en donnent la preuve. Même aujourd'hui, des millions de personnes partout dans le monde chantent "Hare Krishna" pour réaliser leur identité spirituelle.

La structure du mantra en favorise le chant et l'écoute et réveille inévitablement notre conscience originelle: la conscience de Krishna. Telle est la puissance du Nom de Krishna que le Seigneur Chaitanya glorifie ainsi: "Gloire au chant du Saint Nom du Seigneur. De nos cœurs il balaie toutes choses impures accumulées au cours des âges: il éteint le feu brûlant de l'existence conditionnée, avec ses naissances et morts sans fin. Ce chant répand sur tous la bénédiction la plus grande, diffusant ses rayons comme la bienveillante lune. Ame du savoir spirituel, il fait croître l'océan de félicité absolue; il nous donne de savourer pleinement le nectar dont nous languissons sans cesse."

1) The ancient Aramaic Prayer of Jesus, Rocco A. Errico, Science of Mind pub., 1978

2-4) Names of God, Nathan Stone, Moody Press, 1944

5) The book of Jewish Knowledge, Nathaniel Ausubel, Crown Pub., 1964

6) Why allan should not be Called "God", Isa Mohammed, Ansura Allah., 1979

 

Article:   J'adore Govinda.

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