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Le trafic macabre d'embryons humains représente, aujourd'hui, un important commerce, bien organisé. A Paris, au cours d'une réunion de l'Association Internationale pour la Lutte contre l'Exploitation de foetus Humains furent révélés des faits qui provoqueront l'indignation chez toute personne possédant un tant soit peu de compassion.

Le président de l'Association déclarait que depuis quelques années, il existait un commerce clandestin de foetus humains. Il affirma qu'après une césarienne le foetus est retiré et congelé vivant. Si le foetus est âgé de plus de 16 semaines, différentes parties de son corps tel que le foie, etc., sont soigneusement prélevées. Le pancréas procure l'insuline pour la science. Dans les laboratoires embryologiques, on alimente artificiellement le foetus avorté jusqu'à 3 ans. Le cas le plus révoltant présenté durant le meeting se passa à la frontière franco-suisse lorsqu'un douanier intercepta un camion plein de foetus humains; le chargement était destiné à une firme française de cosmétiques qui fabrique des produits pour rajeunir la peau.

Le docteur Maurice, professeur de droit à l'Université de Nice, affirmait que ces faits étaient largement inconnus du public. Il déclara aussi qu'il existait une conspiration du silence entre les Etats et les organisations internationales visant à supprimer cette information afin de s'assurer que le "progrès scientifique" ne soit pas ralenti par la condamnation ou la curiosité du public. Les trafiquants de foetus souvent encouragent les femmes à garder leurs enfants, non encore nés, plus longtemps augmentant la valeur monétaire du foetus, selon qu'il ait 22 semaines d'âge ou plus. Après 22 semaines, le métabolisme cérébral commence à se développer - une valeur spéciale pour le "progrès de la science". Bien que l'Assemblée des Etats Généraux de l'O.N.U., en 1959, affirmait les droits de l'enfant par une déclaration claire "qu'une protection et des soins spéciaux seront accordés à l'enfant comprenant une protection légale appropriée avant aussi bien qu'après la naissance", il est étrange que ces assurances de protection spéciale pour l'enfant non encore né aient, maintenant, été emportées par le vent. La plupart des gouvernements ont déjà voté des lois autorisant l'enlèvement des enfants non encore nés en utilisant les mots "enlèvement des tissus morts". Des annonces apparaissent régulièrement dans la plupart des villes, incitant les femmes à enlever les "tissus indésirables" pour le prix désigné. Les femmes ignorent ainsi ce qu'il advient de leurs enfants. Les docteurs en ligne avec différentes organisations internationales s'occupant de foetus humains ont fort bien surmonté toutes réticences et préjugés humains en présentant carrément les enlèvements "d'enfants sans protection" comme des grandes réalisations de l'humanité.

Toutes les Ecritures principales, telles que la Bible, le Coran et la Bhagavad-gita, ont proclamé que la protection de la vie humaine est un devoir très important du roi ou de l'Etat. Tous les sujets sont considérés enfants du roi (Etat). Malheureusement, aujourd'hui, l'État lui-même encourage le meurtre d'enfants non nés sur une vaste échelle et, comme il est maintenant prouvé, la vente en gros de foetus humains.

Selon les Vedas, la loi du karma déclare coupables tous ceux qui sont impliqués d'aucune façon dans ce crime atroce. Le docteur, l'infirmière, la mère, le père qui décident l'opération et toutes autres personnes dupliquées dans le meurtre de foetus humains auront à souffrir des conséquences horribles similaires. Une clinique d'avortement typique est encore pire qu'un abattoir. La femme enceinte y est traitée comme un chiffre et conduite à s'allonger sur le "lit d'opération". Une large seringue est inséré dans le vagin de la femme et de l'eau chaude y est envoyé jusqu'à l'utérus, noyant ainsi l'enfant. Ensuite, un puissant aspirateur entraîne toute l'eau salée avec le foetus et le placenta hors de la mère. L'opération est bon marché (seulement $8.00 en Inde) et aussi simple, que de sortir aller se faire un shampooing et laver la tête.

Mais la réaction ultime rejaillira sans aucun doute sur la génération présente qui est impliquée dans ces actes meurtriers. La nature réclamera son dû. Il n'est pas nécessaire de regarder bien loin dans le futur pour voir que des punitions massives comme réactions à de tels actes sont inévitables.

L'unique planche de salut pour les gouvernements et leurs citoyens est de comprendre les enseignements de Krishna dans la Bhagavad-gita, qu'uniquement dans la forme humaine on peut atteindre le niveau de réalisation du soi; en fait, la vie humaine est un don rare offert par Dieu dans ce but.

La vie commence au moment de la conception lorsque l'âme spirituelle entre dans le sein de la femme; par sa présence, le corps graduellement se développe et, éventuellement, naît de la mère. S'ils devenaient forts de ce savoir, le gouvernement aussi bien que les citoyens insisteraient sans aucun doute pour mettre un point final à l'énorme massacre de 25 millions d'enfants chaque année.

Essai par Sriman Nathaji dasa traduit de l'anglais par Jagadananda dasa.

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