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Vendredi le 22 mars, 2002

Un nombre imaginaire.

La plus grande maladie qui affecte le mental des hommes de science consiste à ne croire à la réalité de rien, à moins que ce ne soit prouvé par des expériences scientifiques; ainsi, tout le monde est convaincu, sans soulever d'objection aucune. Que nous parlions de l'âme spirituelle à ces savants et ils répondent: "Comment décelez-vous la présence de l'âme?" Parce qu'ils ont été conditionnés à travailler avec des machines, ils se demandent si l'âme peut être détectée par des expériences scientifiques. Les savants doivent néanmoins reconnaître que, même dans leur domaine, de nombreux faits ne peuvent être prouvés par l'expérience. Certes l'âme existe, mais à fin de comprendre son existence il nous faut accepter le savoir de la source authentique: Sri Krsna, Dieu, ou de son représentant dans la succession disciplique, le maître spitiuel.

Tous les membres de la communauté scientifique sabre que les mathématiciens travaillent avec l'aide d'un nombre imaginaire appelé ''i'' racine carré de -1(v-T=i). Ce nombre ne figure pas parmi les nombres naturels ( 1, 2, 3, 4... ) cependant, des branches importantes des mathématiques -par exemple, la théorie de fonction analytique- sont fondées sur cette unité imaginaire. Sans l'aide de cette branche, divers problèmes et théories complexes ne peuvent être résolus. Aussi, ne peut-on dénigrer l'existence de ce nombre; pourtant, nulle expérience n'a pu prouver son existence. De même, les mathématiques statistiques utilisent des modèles de conception (les ensembles, par exemple) pour démontrer leurs thèses et théorie. Or, ces modèles sont tous situés au-delà du domaine de la science expérimentale. Si les savants sont prêts à utiliser ces modèles de conception imaginaire, où est la difficulté à accepter le savoir parfait que nous donne le Seigneur Krsna, Savant Suprême.

Une autre théorie scientifique dépasse les limites de la science expérimentale: le principe d'incertitudes d'Heisenberg. Selon ce principe, il est impossible de déterminer simultanément la position et le moment d'un objet quelconque. Ce qui se traduit dans le langage des mathématiques: "Le produit des incertitudes des valeurs mesurées de la position et du moment (produit de la masse par la vélocité) d'une particule ne peut à être inférieur à la constante de Plank." Aucune technique expérimentale n'a encore pu prouver ce principe. Néanmoins, les savants du monde accepte ce théorème, sachant que la preuve expérimentale dépasse leur capacité. De même, il n'est aucune preuve scientifique qui puisse justifier la troisième loi de la thermodynamique. Cette loi, formulée par Plank, stipule que l'entropie d'un cristal parfait, à la température du zéro absolu, est égale à zéro. En fait, il existe aucun moyen de mesurer directement les entropies absolues. La preuve de cette loi gît donc au-delà du champ des sciences expérimentales.

Notons également que les soi-disant théories scientifiques changent constamment. Au-délà du 19e siècle (1808), John Dalton, en développant sa théorie atomique, déclarait que l'atome ne pouvait être divisée. Mais, à la fin de ce même siècle, on découvrit que la théorie atomique de Dalton ne pouvait plus être considérée exacte, que les atomes pouvaient encore être fragmentés en particules fondamentals tels les électrons, les protons et les neutrons. On apprit également que certains atomes pouvaient émettre des particules alpha et bêta, produisant ainsi de nouveaux atomes, amorçant une réaction en chaîne. En fait, les prétendues bombes nucléaires résultent de ces découvertes. Dans le même ordre d'idée, pendant le 18e et le 19e siècle, la science mécanique de Newton eut une influence extraordinaire sur le mental des hommes de science en ce qu'elle s'appliquait aux objets matériels grossiers. Or, au début du 20e siècle, avec la découverte des particules fondamentales, sa théorie fût remise en question, ne parvenant pas à décrire le mouvement de ces particules. D'où naquit la théorie de la mécanique des quanta, plus apte à expliquer les phénomènes exhiber par ces mêmes particules. Ces théories regorgent de spéculations et subissent aussi des transformations. De même que les théories scientifiques du passé et du présent changent, comprenons que les théories scientifiques futures changeront également.

En fait, cela témoigne de l'imperfection du cerveau des savants qu'on vénère tant et que leurs théories seront toujours condamnées à l'erreur. Le savoir parfait ne saurait connaître de modifications, mais seul l'acte d'approcher une source authentique peut nous donner de l'obtenir. Cette source, c'est Krsna et les Écritures védiques. Affirmation peut-être incroyable pour un cerveau scientifique, habitué à tester toutes choses au moyen d'instruments scientifiques et de soi-disant logique, raison, déduction, hypothèses et théorie; mais la vérité demeure. N'importe qui peut le comprendre pourvu qu'il ait l'esprit assez scientifique. Pour en faire l'expérience sur lui-même, se conformant aux pratiques recommandées par les Védas, sous la direction d'une äme réalisée.

Le procédé est en vérité très pratique. Le maître spirituel prescrit la discipline spirituelle à suivre, et l'étudiant la met en pratique, se conformant aux instructions. Que l'étudiant expérimente le résultat prédit, il en conclut donc que le maître spirituel avait raison. Si le maître spirituel est authentique, le résultat sera positif. Cette procédure s'apparente beaucoup à celle du savant honnête qui rapporte les résultats de sa méthode expérimentale. Ainsi, qui veut en vérifier le résultat, peut en refaire l'expérience à nouveau. Que le même résultat soit obtenu par plusieurs savants, on l'accepte comme tel: fait scientifique. Lorsque les savants font croire que la vie procède de la matière plutôt que de l'esprit, alors leur respect de la moralité diminue considérablement.

Si toute vie n'est qu'une combinaison complexe de réactions chimiques dues au hasard, et s'il n'existe pas de conscience Suprême, de Créateurs et de Maître, où est la nécessité de retenue morale? Ce n'est pas là philosophie nouvelle. Dans la Grèce antique, Épicure postulait que tout n'est, au plus, qu'une combinaison d'atomes et de vide; de nos jours, le mot "épicure" désigne une personne dont l'activité principale consiste à déguster de fin mets et des boissons. Nous en concluerons que la philosophie qui enseigne que des combinaisons chimiques, réglées par la hasard, sont à l'origine de la vie, est une philosophie qui mènent au plaisir débridé des sens et n'a rien de scientifique. La pratique de l'avortement, aux dimensions maintenant mondiale, constitue un exemple frappant du caractère dépravant et vicieux de cette philosophie. Parce qu'on leur a enseigné que l'embryon n'est pas vraiment un être vivant, mais plutôt une simple masse d'éléments chimiques inanimés, les hommes ont été convaincu de tuer impitoyablement leurs enfants dans la ventre de la mère.


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