Une "Nouvelle" est présentée ici chaque jour. Vous pouvez la recevoir quotidiennement dans votre courriel en cliquant ici. Mardi le 4 juin, 2002
Une économie stable.
Un autre facteur important est la solution des problèmes économiques à travers un système agraire s'appuyant sur l'agriculture du sol et la protection de la vache. La culture védique interdit formellement l'abattage des animaux, alors qu'aujourd'hui d'horribles hétacombes surchargent l'atmosphère de violence et détruisent l'équilibre économique de notre société. Un système économique stable doit permettre à l'homme de se procurer facilement ce dont il a besoin pour vivre de façon à ce qu'il puisse consacrer le maximum de son énergie à la quête de la vie spirituelle. C'est donc sur la culture du sol et la protection de la vache que reposait l'économie védique; là était la vraie richesse. Le boeuf aide à la production des céréales nécessaires pour chacun, et la vache, elle, nourrie d'herbe et de foin, donne du lait en abondance; c'est pourquoi l'homme verra ses besoins vitaux facilement comblés s'il protège ces deux animaux. A notre époque de bouleversements, les gens ont perdu leur vraies richesses en se laissant éloigner de la terre et des vaches. Parce qu'ils n'ont pas appris à respecter les principes du brahmanisme, ils ne savent pas comment organiser leur vie de façon satisfaisante, et plutôt que de protéger le boeuf et la vache, ils les tuent pour s'en nourrir. Plutôt que de vivre agréablement à la campagne, ils se sont entassés dans des villes, créant de leur propre chef des conditions d'existences tout à fait malsaines. Par ignorance, ils ont créé des complexes industriels infernaux dans lesquels ils peinent comme des bêtes de somme pour produire des objets sans utilité réelle. De cette façon, ils épuisent rapidement les ressources naturelles de la terre et transforment peu à peu le monde entier en un enfer pestinentiel où il n'est même plus possible de trouver de l'eau ou de l'air pur. Ils reçoivent la récompense de leur dur labeur sous forme de billets de banque de valeur si instable qu'ils ne peuvent pas même acheter un morceau de pain en crise économique. Selon la culture védique, une aussi mauvaise administration va à l'encontre des lois de la nature et ne peut qu'engendrer des myriades de problèmes. Le matérialisme se répand maintenant à vive allure. Les matérialistes prétendent que le monde leur appartient et que tous ses plaisirs leur reviennent de droit. Mais la nature matérielle agit sous les ordres de Krishna, et seuls des gens d'une mentalité de voleurs peuvent donner à l'individu ou à l'Etat un droit de propriété sur elle. Ce ne sont pas seulement les luttes des classes et le monopole des biens qui désiquilibrent cette société, mais aussi les idées fausses que nous nous faisons de notre identité et de notre relation avec la Personne Suprême. Créer artificiellement une société sans classes en faisant de tout le monde des ouvriers tout en conservant le désir d'exploiter sans limites la nature n'apportera aucun changement. La vraie solution est celle qui a pour but de mettre fin au règne absolu de la jouissance matérielle sur des sociétés qui ignorent Dieu. Toute autre révolution ne réussira qu'à déséquilibrer davantage l'humanité. Un même but Grâce aux principes de la Conscience de Krishna, une véritable société sans lutte de classes pourra être créée. Une société sans lutte de classes signifie en réalité que les classes qui la composent coexistent dans l'harmonie en poursuivant un même but. Recevez la nouvelle quotidiennement dans votre courriel. ARCHIVES Hare Krishna Hare Krishna Krishna Krishna Hare Hare
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